jeudi 25 juillet 2013

à Gilloute

C'est avec une infinie tristesse que je viens d'apprendre ta disparition brutale. J'étais avec toi à Paris il y a une dizaine de jours. En nous quittant on s'était promis de se revoir bientôt pour regarder les photos de notre périple.

Et puis ... Les mots sont dérisoires, notre peine est immense.

J'adresse à ta famille mes sincères condoléances.
Je pense à Annick, à tes enfants, à tes petits enfants qui sont dans le chagrin.
Tu étais un papy formidable présent et généreux, tu étais un garçon souvent très drôle et ton humanité joyeuse était appréciée de tous.
Tu vas nous manquer, tu vas me manquer.

Jacques