Et puis ... Les mots sont dérisoires, notre peine est immense.
J'adresse à ta famille mes sincères condoléances.
Je pense à Annick, à tes enfants, à tes petits enfants qui sont dans le chagrin.
Tu étais un papy formidable présent et généreux, tu étais un garçon souvent très drôle et ton humanité joyeuse était appréciée de tous.
Tu vas nous manquer, tu vas me manquer.
Jacques